Bonjour, je suis Ian Assimov alias papaOurs (à cause des poils). J'ai 35 ans et aujourd'hui ce que vous lisez est mon histoire,
Nous somme le mercredi 1 avril 2015 a l'heure actuel je me trouve dans mon pays la chernarussie, j'aurai mieux fait de rester en France vous allez comprendre.
Avant que tout ça commence j'étais commercial pour TEC industrie et vivais à Chernogorsk, j'ai du partir pour un voyage d'affaire en France afin d'implanter nos usine aussi là bas,
Jusqu'au jours du 25 Mars 2015 où j'ai entendu à la télé qu'un étrange virus décimé la population chernarussienne, j'ai immédiatement pris l'avion pour rentrer afin de retrouver ma
seul famille mes deux frères Doleil et Jesse Assimov.
L'avion était à destination de Krasnostav et je devais aller à Chernogorsk je vous raconte pas la distance à parcourir. De plus aucun taxi ou bus n’étaient disponible
tous réquisitionné par l'armée. Je due Prendre la décision de Marcher jusque Olsha au bout de 2 h de route je regardais enfin ma montre il était 16h36 il me resté environ 3h30 avant que le soleil ce couche donc je me suis dirigeais vers Svetlojarsk afin d'y passer la nuit. Il est maintenant 18h je suis enfin arrivé a Svetlojarsk pas âme qui vive je me suis dit sur le coup tout le monde est cloîtrer chez eux a cause de ce "Virus" je me suis mit a la recherche d'un hôtel que je trouvais assez vite, je fit un pas dans le bâtiment je ne vit, n'y n'entendis personne donc je déposais 50€ sur le bureau et pris une clé afin d'aller me reposé et reprendre mon exploration demain.
2 Avril 2015
il est 2 heure du matin quand j'entend une hurlement dans la rue, une femme qui crie à l'aide je regarde par la fenêtre de ma chambre et je c'est là que je l'aperçois poursuivis par deux personnes
dont la démarche paraissait quelque peu alcoolisé je décendis en trombe saisie la clé a molette dans la caisse a outils du propriétaire qui ce situait et je sorti aider cette jeune femme. Une fois à l’extérieur
je fit signe à la femme de venir vers moi ce qu'elle fit dans l'instant toujours poursuivis par ces hommes de ce que je pouvais apercevoir je leur est clairement dit de ce stopper mais rien ne fait jusqu’à ce que la lumière de
la rue affiche des visage déchiré par je ne sais quoi j'ai compris alors que c'est gens n'étaient plus vivant.
Je pris la femme par la main et la fit rentrer en vitesse dans le bâtiments en veillant bien à fermer la porte je l'accompagner dans ma chambre afin qu'elle ce repose pendant que je surveiller les environs.
Le reste de la nuit fût calme la femme fut blessé durant l'altercation avec ces choses je lui prodiguait des soins; elle ce réveilla d'une manière étrange les yeux vide et de la bave couler a flot de sa bouche j'ai rapidement
compris qu'elle était devenus une de ces choses j'ai alors pris mes jambes à mon cou et fuis en direction du commissariat, poursuivis par les "rôdeurs" j'arrivais au commissariat vide et fermer les "Rôdeurs "
ce rapproché de plus en plus de moi et j'essayer d'enfoncé la porte afin de rentré et essayé peu tre de trouver une arme à feu. La situation commencé à être serrer pour moi je décidais donc de les affronter
avec ma clé à molette quand je vit le 1er "Rôdeur" tomber au sol d'une balle dans la tête sans aucun bruit donc un silencieux j'ai supposé j'entendit "clic clic clic" et une vois me dit "DEVANT TOI FRAPPE !!!!"
sans réfléchir j'ai frapper frapper frapper jusqu’à ce que le "Rôdeur" tombe et le 3ème tomba a son tour d'une balles dans la tête.
Le temps de rependre mes esprits je vit donc un homme noir vêtu de la même manière qu'un ambulancier. Cette homme ouvrit crocheta la porte du commissariat et nous entrâmes dans la bâtisse.
Je fit le tour rapidement et j'ai trouvé sporter 22, un petit magasin et quelque balles que je glissais dans mes poches, nous passame la nuit dans le bâtiments.
Le jour ce montra très rapidement, cette homme me demanda mon nom je lui est donc dit et demandé de m’appeler papaours, puis je lui ai demandé a mon tour il m'a simplement dit appel moi Frozen.
De fil en aiguille je lui ai raconté mon histoire et dit que je devais partir pour Chernogorsk il à proposé qu'on fasse la route ensemble jusqu’à ce que je retrouve mes deux frères et puis je ne suis pas contre un peu d'aide dans ce monde mais bon restons méfiant quand même.
Nous somme le mercredi 1 avril 2015 a l'heure actuel je me trouve dans mon pays la chernarussie, j'aurai mieux fait de rester en France vous allez comprendre.
Avant que tout ça commence j'étais commercial pour TEC industrie et vivais à Chernogorsk, j'ai du partir pour un voyage d'affaire en France afin d'implanter nos usine aussi là bas,
Jusqu'au jours du 25 Mars 2015 où j'ai entendu à la télé qu'un étrange virus décimé la population chernarussienne, j'ai immédiatement pris l'avion pour rentrer afin de retrouver ma
seul famille mes deux frères Doleil et Jesse Assimov.
L'avion était à destination de Krasnostav et je devais aller à Chernogorsk je vous raconte pas la distance à parcourir. De plus aucun taxi ou bus n’étaient disponible
tous réquisitionné par l'armée. Je due Prendre la décision de Marcher jusque Olsha au bout de 2 h de route je regardais enfin ma montre il était 16h36 il me resté environ 3h30 avant que le soleil ce couche donc je me suis dirigeais vers Svetlojarsk afin d'y passer la nuit. Il est maintenant 18h je suis enfin arrivé a Svetlojarsk pas âme qui vive je me suis dit sur le coup tout le monde est cloîtrer chez eux a cause de ce "Virus" je me suis mit a la recherche d'un hôtel que je trouvais assez vite, je fit un pas dans le bâtiment je ne vit, n'y n'entendis personne donc je déposais 50€ sur le bureau et pris une clé afin d'aller me reposé et reprendre mon exploration demain.
2 Avril 2015
il est 2 heure du matin quand j'entend une hurlement dans la rue, une femme qui crie à l'aide je regarde par la fenêtre de ma chambre et je c'est là que je l'aperçois poursuivis par deux personnes
dont la démarche paraissait quelque peu alcoolisé je décendis en trombe saisie la clé a molette dans la caisse a outils du propriétaire qui ce situait et je sorti aider cette jeune femme. Une fois à l’extérieur
je fit signe à la femme de venir vers moi ce qu'elle fit dans l'instant toujours poursuivis par ces hommes de ce que je pouvais apercevoir je leur est clairement dit de ce stopper mais rien ne fait jusqu’à ce que la lumière de
la rue affiche des visage déchiré par je ne sais quoi j'ai compris alors que c'est gens n'étaient plus vivant.
Je pris la femme par la main et la fit rentrer en vitesse dans le bâtiments en veillant bien à fermer la porte je l'accompagner dans ma chambre afin qu'elle ce repose pendant que je surveiller les environs.
Le reste de la nuit fût calme la femme fut blessé durant l'altercation avec ces choses je lui prodiguait des soins; elle ce réveilla d'une manière étrange les yeux vide et de la bave couler a flot de sa bouche j'ai rapidement
compris qu'elle était devenus une de ces choses j'ai alors pris mes jambes à mon cou et fuis en direction du commissariat, poursuivis par les "rôdeurs" j'arrivais au commissariat vide et fermer les "Rôdeurs "
ce rapproché de plus en plus de moi et j'essayer d'enfoncé la porte afin de rentré et essayé peu tre de trouver une arme à feu. La situation commencé à être serrer pour moi je décidais donc de les affronter
avec ma clé à molette quand je vit le 1er "Rôdeur" tomber au sol d'une balle dans la tête sans aucun bruit donc un silencieux j'ai supposé j'entendit "clic clic clic" et une vois me dit "DEVANT TOI FRAPPE !!!!"
sans réfléchir j'ai frapper frapper frapper jusqu’à ce que le "Rôdeur" tombe et le 3ème tomba a son tour d'une balles dans la tête.
Le temps de rependre mes esprits je vit donc un homme noir vêtu de la même manière qu'un ambulancier. Cette homme ouvrit crocheta la porte du commissariat et nous entrâmes dans la bâtisse.
Je fit le tour rapidement et j'ai trouvé sporter 22, un petit magasin et quelque balles que je glissais dans mes poches, nous passame la nuit dans le bâtiments.
Le jour ce montra très rapidement, cette homme me demanda mon nom je lui est donc dit et demandé de m’appeler papaours, puis je lui ai demandé a mon tour il m'a simplement dit appel moi Frozen.
De fil en aiguille je lui ai raconté mon histoire et dit que je devais partir pour Chernogorsk il à proposé qu'on fasse la route ensemble jusqu’à ce que je retrouve mes deux frères et puis je ne suis pas contre un peu d'aide dans ce monde mais bon restons méfiant quand même.
